« Leur chanson “Mercy” raconte l’histoire vraie d’une enfant née sur un bateau humanitaire. Elle représentera la France à l’Eurovision 2018, le 12 mai à Lisbonne. Elle a été choisie dans l’émission “Destination Eurovision”, diffusée sur France 2 samedi soir [27 janvier 2018]. Elle est interprétée par le duo Madame Monsieur, composé des auteurs compositeurs Émilie Satt (29 ans) et Jean-Karl Lucas (35 ans). » (Source L’Express)
L’an prochain, le duo « Shlomo Sarah » chantera Lobby, une chanson sur la souffrance des associations antiracistes françaises qui déclenchent les rires, les quolibets ou les insultes quand elles tentent de faire du peuple français, le plus raciste de la Terre, un peuple civilisé, antiraciste et ouvert aux influences étrangères positives.
On plaisante à peine : vu comme le concours Eurovision est parti chez nous, après Amir et Alma (voir les renvois E&R plus bas), on peut se poser la question de la polarisation de la chanson nationale. Il ne reste plus rien de français dans ce duo qui porte bien haut l’étendard du mondialisme destructeur.
Alors que @MadameMonsieur incarne l'espoir en defendant #Mercy à #DestinationEurovision, l'équipage de l'#Aquarius à qui la chanson rend directement hommage vient de vivre les pires heures de sa mission https://t.co/ncrLVRqLgz
— Eric Valmir (@ericvalmir) 27 janvier 2018
Pour cela, il a choisi un enfant – né sur un bateau qui fait semblant de sauver les migrants mais qui en vérité les importe – qui symbolise l’indifférence des salauds de Français mais aussi l’avenir, celui de notre beau pays façonné par des décennies de socialisme antiraciste. Si l’on écoute les « autorités » politico-économiques, notre natalité (plombée par l’avortement) ne nous permet pas de refuser l’immigration (plombée par la surnatalité).
« Je suis née ce matin, je m’appelle Mercy
Au milieu de la mer, entre deux pays, Mercy
C’était un long chemin et maman l’a pris
Elle m’avait dans la peau, huit mois et demi
Je suis née ce matin, je m’appelle Mercy
On m’a tendu la main et je suis en vie
Je suis tous ces enfants que la mer a pris »
Nous nageons en plein soviétisme, avec la délation encouragée (DILCRAH), les associations qui font les lois, puis la loi, les hommes politiques aux ordres, les élections trafiquées (que ce soit celle de Macron ou celle de la chanson de l’Eurovision [1]), les représentants de la société civile (on dit aussi les people) qui relayent comme des abrutis le règlement du Parti unique, le ministère de la Vérité qui ruisselle de fake news, la criminalisation des dissidents politiques et le laxisme envers les droits communs (racailles et hybrides), le terrorisme comme répression en régime démocratique, tout y est !
« Notre chanson n’est pas politique. On ne donne aucune solution. Les bénévoles de SOS Méditerranée vous expliqueraient qu’ils ne font pas de politique – ils sont de sensibilités variées – mais qu’ils se disent avant tout : "on ne peut pas laisser mourir les gens". Notre chanson ne parle de rien d’autre que d’un bébé qui vient au monde sain et sauf. » (Jean-Karl au journal 20 Minutes)
EuroviSion
Aucun secteur de l’activité, que ce soit l’économie, la presse ou la chanson, n’échappe à l’appétit de conquête intérieure de cette uniformisation de la pensée, de la parole et des actes. Mais ne noircissons pas le tableau !
Beaucoup de Français se sentent loin de cette mascarade culturelle (on a failli écrire cul-truelle) qui sent le piège à cons à plein nez, et les réseaux sociaux se font déjà un plaisir raffiné de désosser cette coproduction du service public audiovisuel, du ministère de la Culture et du pouvoir profond.